L’organisation n’est plus uniquement face à son marché. Elle doit maintenant répondre concrètement aux interpellations de sesparties prenantes : actionnaires, clientèle, fournisseurs, propriétaires, environnement (société civile, ONG…).
L’organisation ne peut plus ignorer l’opinion publique, car ce serait nuire à son capital image.
L’organisation sait que les attentes du public ne cessent d’augmenter quant à la façon de mener ses activités en termes d’égalité, de commerce équitable, d’investissement éthique, d’impact environnemental, d’impact sur les communautés locales, de droits humains au niveau individuel et d’autres questions de justice sociale.